Petite Nouvelle de mon invention...

Voila , j'aimerais vous faire partager un de mes écrits et avoir votre avis, ce n'est pas très long et je pense que sa peut vous plaire!
Sur ce , bonne lecture !

Enjoy!!!!!




Marack après s'être mystérieusement réveillé dans les Taudis de Midgar avec comme seul vestige de son passé son nom, se balade dans les petites rues cherchant à savoir qui il est...

Le soir était là. Dans la brise du vent nocturne, des bruits de pas brisaient le silence interminable qui régnait il y'a quelques instants. Brusquement, un déchirement dans l'air : un cri retentit tel un coup de tonnerre, bref et soudain. De cette plainte, des lumières s'allumèrent des fenêtres qui auparavant étaient emplies de ténèbres, et, dans un grincement, une d'elle s'ouvrit. Une femme endimanchée apparut dans l'âtre de la fenêtre qui maintenant, éclairée, semblait fort cossu. Cette femme vociférait des insultes à peine compréhensibles, et, joignant les gestes à la parole, elle jeta une boite de conserve vide qui dans un tintement sonore, atterrit au pied du jeune homme qui venait de proliférer ce trait de voix plaintif. Ce personnage, voyait sa silhouette se dessinait, à la lueur des réverbères qui scintillaient dans la nuit tels des étoiles, au tempo de ses pas traînants et nonchalants. Le halo de lumière laissait apparaître un adolescent, vêtu d'un long manteau de cuir noir qui le couvrait de la tête aux pieds et de son visage, l'on ne pouvait qu'apercevoir sa longue chevelure dorée qui dansait au rythme des bourrasques de vents enténébrés. Le visage baissait, ses yeux balayaient le sol comme si les réponses de son passé déchu s'inscrivaient tel des lignes à même le sol ... Il n'avait cure des gens aux fenêtres qui perdaient leurs salives en sarcasmes en tout genre.
«Je ne comprends pas...» Pensa t-il.
De cette pensée, il donna un coup de pied dans le cylindre métallique qui avait atterrit quelques secondes auparavant a ces pieds, la boite alla se fracasser contre le mur dans un infernal boucan sonore. Depuis cet affreux réveil, il broyait du noir. Toutes ses pensées qui se chamboulaient et toutes ses questions qui le torturaient dans sa tête lui faisaient à présent mal au crâne.
Cela tournait sans cesse dans sa tête, tournant et retournant, jusqu'à qu'il se baissa et régurgita le peu d'aliments qu'il avait ingéré aux cours des deux dernières heures.
«Pourquoi moi? Qu'est ce qu'il m'arrive? Pourquoi maintenant?» Et tant d'autres de ces interrogations se bousculaient...
Au détour d'une petite rue, trois individus l'air ivre lui barrèrent la route.
« Hey petit! Tu ne devrais pas être chez ta maman à ct'heure ci?» Jeta un des soulouards à l'adolescent.
Il s'arrêta, la chaleur de son souffle disparaissait dans l'air au rythme de sa respiration.
«Messieurs, veuillez vous retirer de ma route, je ne veux pas perdre de temps!» lança t-il d'une voix monotone.
Voyant que les individus ne voulaient se souscrirent à ses recommandations, il adoptât une posture de combats particulièrement étrange instinctive qui n'obéissait nullement à ces ordres.
Puis sa vision s'obscurcit dans un bruit de verre.
Il comprit, trop tard, ce qu'il venait de lui arrivait. Et dans un ricanement rauque, il sombra dans le monde de l'inconscience...
Lorsque ténèbres redevenairent lumières, il ne put s'empêcher d'échapper un cri de douleurs qui se perdit dans la nuit en un écho vague et plaintif. Il sentait de violents vas et viens en lui et entendais des bruits obscènes suivit de perpétuels ricanements. Il était dans une très mauvaise posture, et de plus, très inconfortable. Une désagréable sensation d'être «souillé» s'imissa en lui plus cela continuait, sans cesse, sans relâche, interminablement, et les secondes parurent durer des heures qui étaient jonchées d'accoups qui provoquaient de nouveau des gémissements de douleurs. Le jeune homme pouvait sentir coulaient des larmes de ses beaux yeux bleus, le long de ses joues, douces et délicates. Elles se versaient comme pour remplir un océan de douleurs. Aux pâles lueurs d'un réverbère, il aperçut un des soualards. Malheureusement, les forces lui manquées, il ne pouvait résistait, il ne pouvait que subir. Il entendit les soualards parlaient et rires mais ne comprenait rien à leurs dires, tout était vagues. Lorsqu'il sortit peu à peu de sa torpeur, c'était pour se rendre compte, qu'il ne pouvait plus parlait, car l'un des soualards, à présent devant lui, l'en empêchait. Le seul mot qu'il comprit de ses paroles...:«continu!»
C'est à se moment précis qu'il sentit quelque chose couler le long de sa cuisse. Puis, il s'écroulât, et avant de ressombrer dans l'inconscience, il n'entendit que des bruits des pas qui s'éloigner et des ricanements à peine audibles se perdant dans l'infini silence de la nuit. Le jeune homme avait été laissé sur place comme mort.

Ce jour là, c'était un triste soir d'automne et Marack avait 14 ans. C'était le début d'un nouvel être...

Style assez spécial mais pas inintéressant, en tout cas très bien écrit.

Le style est bon mais il y a pas mal de fautes d'orthographe et de syntaxe

Aie la t'ai tombé sur la reine de l'orthographe !

MDR oui Max comme toujours

Bon beh comme je ne suis pas un dieu en orthographe et syntaxe , si tu peux m'aider à les coriger sa serait bien !!
Merci

tu me l'envoies et je te fais ça !